De l’a­vis géné­ral  fēng repré­sente un grand réci­pient bien rem­pli, et donc l’i­dée d’a­bon­dance. Léon Wie­ger consi­dé­rait que la scène ini­tiale mon­trait des gerbes de grain sur pied dres­sées sur une aire de bat­tage.

Dans les docu­ments ora­cu­laires  fēng désigne éga­le­ment le grand tam­bour rituel, sur­mon­té de plumes ou 丰 fēng orne­ments végé­taux.

Mais une autre lec­ture gra­phique du carac­tère per­met, pour finir, d’y trou­ver   li et  zhen, et donc de l’as­so­cier à l’hexa­gramme H55, dont il est le nom.