L’analo­gie tient une grande place dans la pen­sée chi­noise. De nom­breux mots peu­vent s’y traduire par ” comme ” (nous avons déjà étudié 若 ruò ” comme ”). Mais, y com­pris pour la notion de simil­i­tude, ce qui se ressem­ble ne s’assem­ble pas tou­jours : des voies bien dif­férentes con­duisent en effet au “sem­bler iden­tique”.
Le car­ac­tère de ce jeu­di, i ” comme ” appar­tient à la fameuse et mys­térieuse expres­sion 無為 wú wéi (qui n’est pas dans le Yi Jing). Elle est sou­vent mal­adroite­ment traduite par « non-agir » ou « non-être ».
為 wéi, une main guidant un éléphant, exprime la mobil­i­sa­tion d’un inter­mé­di­aire et prou­ve une inten­tion­nal­ité,