A l’origine  zhèn s’écrivait  chén, et repré­sen­tait un gros coquillage (une palourde ?) uti­li­sé comme fau­cille, ou une char­rue pour labou­rer et arra­cher les mau­vaises herbes.

  “pluie” fut ajou­té ensuite au-des­sus pour pré­ci­ser le carac­tère météo­ro­lo­gique, mais éga­le­ment ren­for­cer la notion de cou­pure, à l’i­mage de la pluie se déta­chant du ciel.

Le mot Ebran­le­ment tra­duit à la fois l’i­dée “d’être secoué, “é‑mu”” et la mise en branle, en mou­ve­ment.