La pre­mière lec­ture de míng “lumière” montre sim­ple­ment le com­po­sant de gauche “le soleil” qui se lève alors qu’à droite yuè “la lune” n’est pas encore cou­chée : l’aube.

Mais en rem­pla­çant le com­po­sant “soleil” par jiǒng “fenêtre” un retour­ne­ment majeur révèle l’i­dée de péné­tra­tion et d’illu­mi­na­tion d’un uni­vers intime : la lune éclaire à tra­vers une ouver­ture. S’y conjuguent les cycles mens­truels et la capa­ci­té à pro­créer, évo­quant comme l’aube la notion de venir au jour, de mettre au monde.