Dans la ver­sion de Mawang­dui   marcher est rem­placé par 禮  rites. Le rite est lui-aus­si une démarche dont chaque étape est définie à l’avance. […]

 […] Le fonde­ment du rite n’est pas la com­mé­mora­tion sclérosante d’un passé idéal­isé, mais, de “de toute évi­dence”, le pro­jet pro­tecteur et éman­ci­pa­teur d’une ouver­ture au futur.