Le point com­mun entre les deux com­posants de sòng est la notion de droi­ture, de cor­rec­tion, de jus­tice. Il est ques­tion d’une parole ferme, de mots justes, de don­ner sa parole.

Dans un texte, il peut faire référence au locu­teur, et est donc équiv­a­lent à “moi, je”. Ce qui jus­ti­fie la tra­duc­tion plaider sa cause.