Georges Saby était présent comme chaque année au Con­grès TONG REN 2019 (Méth­odes Tra­di­tion­nelles de San­té Chi­nois­es) à la fois comme enseignant mais égale­ment en tant qu’au­di­teur et par­tic­i­pant aux mul­ti­ples con­férences et ate­liers.

Il a été telle­ment séduit par le con­tenu des con­férences-ate­liers de Jean Motte qu’il en a pro­duit une retran­scrip­tion (avec relec­ture et autori­sa­tion de l’in­ter­venant).

[…] L’acupunc­ture telle qu’elle existe et telle qu’on la pra­tique aujour­d’hui, n’é­tait pas exer­cée ain­si à l’époque antique. Les prati­ciens étaient des guéris­seurs en fin de compte, qui vivaient isolés du clan. Le guéris­seur était telle­ment en Har­monie avec la nature que son souf­fle, son Qi était le Qi de la Nature.

Le con­sul­tant qui pou­vait être malade, avoir des maux, des plaies ou des prob­lèmes exis­ten­tiels (qui n’é­taient peut être pas si nom­breux à l’époque), venait auprès de chamanes. Il s’agis­sait bien d’un chamane… […]

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