Sabine Dugar­ry débute aujour­d’hui une longue série d’ar­ti­cles sur l’in­térêt des détails dans le texte du Yi Jing.

Ayant en effet con­staté que les tra­duc­tions actuelles ne répon­dent pas tou­jours à la sit­u­a­tion du con­sul­tant, elle nous pro­pose d’aller plus loin dans la recherche du con­texte his­torique où cer­tains mots sym­bol­iques ont été sci­em­ment choi­sis.

En com­pren­dre le sens à l’époque per­met de ren­dre le sens d’au­jour­d’hui.

Voici la note d’in­ten­tion de ce vaste pro­jet :

La pre­mière tra­duc­tion que Sabine remet en ques­tion est “Béli­er” pour le terme 羊 yáng auquel elle préfère claire­ment “Chèvre”, ce qui n’est pas sans con­séquences :

A pro­pos de détails… : si vous voulez en savoir un peu plus sur Sabine Dugar­ry :