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La ver­sion sur laquelle L’En­cy­clo­pé­die du Yi Jing base ses tra­duc­tions et inter­pré­ta­tions est le texte cano­nique du YiJing, dont la ver­sion de base a été com­pi­lée vers la fin du 3ème siècle avant notre ère. De nom­breuses autres ver­sions et pra­tiques existent cepen­dant.

Georges Saby nous a per­mis Il y a quelques années d’ac­cé­der à un ensei­gne­ment issu de la pra­tique boud­dhiste Chan : Xuë wu, Le Yi Jing Noir.

Tels qu’ils nous ont été trans­mis, ces textes sont for­mu­lés en 64 ques­tions ou pro­po­si­tions d’in­tros­pec­tions. En com­plé­ment d’une pra­tique “interne” réser­vée aux seuls pra­ti­quants du Chan, deux approches “externes” sont pro­po­sées : la Médi­ta­tion du Hibou et la Pêche de la Pan­thère.

J’ose en sug­gé­rer un troi­sième usage :

’ En com­plé­ment d’un tirage Yi Jing, lire la pro­po­si­tion dont le numé­ro cor­res­pond à l’hexa­gramme de situa­tion et obser­ver com­ment cela résonne…”

Nous réédi­tons donc cette semaine le pre­mier des quatre articles consa­crés à cette méthode d’in­tros­pec­tion.

En bonus, une toute petite livrai­son d’inter­pré­ta­tions dans les pages Hexa­gramme :

H5 et H2.